Droit de la famille
Nadia HAMMAMI exerce depuis plus de 15 ans comme avocat au Barreau de Paris.
Elle dispose d’une forte expérience acquise dans la pratique de la séparation des couples, mariés ou non.
Toutes vos interrogations méritent une réponse juridique et adaptée à votre situation (Divorce par consentement mutuel, divorce contentieux, séparation, garde des enfants, résidence, pension, prestation compensatoire…)
Nadia HAMMAMI vous conseille sur le divorce le plus adapté à votre situation.
La procédure est différente selon le type de divorce choisi.
La loi n°20016-1547 du 18 novembre 2016, entrée en vigueur le 1er janvier 2017, a crée le divorce par consentement mutuel sans juge et par acte d’avocat.
Une fois les époux d’accord sur le principe du divorce, le Cabinet vous demandera de préparer votre dossier et vous proposera un premier rendez vous.
Chacun des époux sera tenu d’avoir son propre avocat.
Cette convention de divorce par consentement mutuel doit régler toutes les conséquences et les effets du divorce (la résidence des époux et des enfants, la jouissance du domicile conjugal, le montant de la pension alimentaire, le montant de la prestation compensatoire…).
Elle sera négociée et rédigée par les avocats, puis enregistrée au rang des minutes près d’un notaire.
Il vous sera demandé de préparer les pièces suivantes pour le divorce par consentement mutuel :
D’autres pièces vous seront demandées, en fonction de votre situation personnelle.
Lors de ce premier rendez vous, Nadia HAMMAMI répondra à toutes vos interrogations, et écoutera vos besoins pour vous proposer les solutions les plus adaptées à votre situation.
Ce divorce est le plus rapide et le moins onéreux à priori, mais des urgences ou des spécificités non envisagées peuvent exister, l’expertise de Nadia HAMMAMI vous accompagnera également lors de ces différentes situations.
L’une de ces spécificités concerne les couples dont l’un des conjoints est étranger.
Si l’un des époux est de nationalité étrangère, le divorce par consentement mutuel peut soulever des difficultés lors de sa transcription à l’étranger.
Au niveau international, le recours au divorce par consentement mutuel sans juge (extrajudiciaire) doit être abordé avec une grande prudence.
Certains pays demandent un jugement de divorce pour procéder à la transcription du divorce.
A ce jour, le divorce par consentement mutuel français est :
Nadia HAMMAMI répondra à vos interrogations sur sa reconnaissance et son exécution à l’étranger et vous conseillera sur des procédures alternatives, tout en respectant l’esprit d’un divorce amiable.
Nadia HAMMAMI vous représente à tous les stades du divorce par consentement mutuel, notamment :
Le divorce judiciaire est un divorce contentieux pour lequel il faudra saisir le juge aux affaires familiales, compétent conformément à l’article 1070 du code de procédure civile.
Le juge territorialement compétent est le juge du lieu où se trouve la résidence de la famille.
Si les parents vivent séparément, il s’agit du juge de la résidence du parent avec lequel résident les enfants mineurs ou du lieu de résidence du parent qui exerce seul cette autorité.
Dans les autres cas, le juge du lieu où réside celui qui n’a pas pris l’initiative de la procédure.
Il existe 3 types de divorce contentieux:
Nadia HAMMAMI dispose d’une forte expérience acquise dans la pratique du contentieux du divorce et de la séparation des couples mariés, en union libre ou pacsés.
Elle interviendra à tous les stades du litige devant les tribunaux saisis, notamment en :
Nadia HAMMAMI vous conseille et vous représente lors de la phase du partage et de la liquidation des biens pendant le divorce ou la séparation des couples en union libre ou pacsés.
Dans le cadre d’un divorce judiciaire, les opérations de liquidation et partage peuvent être demandées dès le début de la procédure, en sollicitant la désignation d’un notaire aux fins d’établir un projet de liquidation, conformément à l’article 255, 10° du code civil.
Dans le cadre d’un divorce par consentement mutuel, la liquidation doit être effectuée avant l’enregistrement de la convention de divorce par consentement mutuel par le notaire. Un état liquidatif sera annexé à la Convention de divorce par consentement mutuel.
Pour partager, il convient de faire la liquidation, c’est-à-dire chiffrer le patrimoine (biens immobiliers, biens mobiliers, argents et dettes comprises) des époux afin de déterminer la valeur de la part revenant à chacun des époux.
La liquidation permet l’évaluation des biens dans la communauté et de les partager entre les époux.
La liquidation du régime matrimonial peut se faire à l’amiable.
Les époux doivent obligatoirement s’entendre à l’amiable sur la liquidation et le partage des biens. Si tel n’est pas le cas, le divorce par consentement mutuel n’est pas possible.
La liquidation peut se faire à différents moments de la procédure selon qu’un accord a pu être trouvé entre les époux, pendant la phase du divorce ou après le divorce, par une assignation en liquidation et partage devant le juge aux affaires familiales.
Il existe différents régimes matrimoniaux qui déterminent les conditions de la liquidation et de la répartition entre les époux.
En cas de désaccord et de situation de blocage, il est possible de provoquer le partage devant les tribunaux.
Le principe est que nul n’est contraint de rester dans l’indivision (article 815 du Code civil), en conséquence, tout co-indivisaire peut saisir le juge afin de procéder à la liquidation et au partage des biens mobiliers et immobiliers.
Le juge compétent est le juge aux affaires familiales, lequel est saisi par une assignation en liquidation et partage qui doit contenir, à peine d’irrecevabilité , conformément à l’article 1360 du code de procédure civile :
Nadia HAMMAMI vous représente à tous les stades de la liquidation pré-contentieuse et devant les tribunaux saisis, notamment en :
Pendant le divorce ou après le divorce, l’époux est parfois contraint de vendre un bien immobilier commun, constituant le domicile conjugal ou l’ancien domicile conjugal ( urgence et difficultés financières de l’un des époux ou ex-époux, prêt immobilier non remboursé, menace de saisie et vente judiciaire…).
En cas de désaccord sur la vente du bien immobilier ( entre les époux, ex-époux ou concubins ou ex-concubins), il est possible de solliciter du juge aux affaires familiales l’autorisation de vendre seul le bien.
En application de l’article 217 du code civil qui dispose que :
« Un époux peut être autorisé par justice à passer seul un acte pour lequel le concours ou le consentement de son conjoint serait nécessaire, si celui-ci est hors d’état de manifester sa volonté ou si son refus n’est pas justifié par l’intérêt de la famille.
L’acte passé dans les conditions fixées par l’autorisation de justice est opposable à l’époux dont le concours ou le consentement a fait défaut, sans qu’il en résulte à sa charge aucune obligation personnelle. »
Pendant le divorce, l’un des époux peut être fondé à solliciter auprès du juge aux affaires familiales l’autorisation de vendre seul un bien immobilier justifié par l’intérêt de la famille.
Il en est de même après le divorce, l’un des ex-époux peut être autorisé à vendre seul le bien immobilier, puisque nul ne peut être contraint à rester en indivision, conformément à l’article 815 du code civil, qui dispose que « Nul ne peut être contraint à demeurer dans l’indivision et le partage peut toujours être provoqué, à moins qu’il n’y ait été sursis par jugement ou convention »
Nadia HAMMAMI vous représente à tous les stades de procédure afin d’être autorisé à vendre seul un bien immobilier, devant le tribunal :
Réalisé par Guilhem Delachapelle